

Les sœurs et les frères de la Grande Loge des Régimes Rectifiés peuvent avancer avec leur propre intelligence et avec leur propre spiritualité. Ils peuvent mettre leur liberté à leur service et rentrer dans la structure de leur âme.
Par leur vie maçonnique ils apprennent que le franc-maçon doit se distinguer des autres hommes par sa droiture et son amitié envers ses sœurs et frères, sa manière de penser libre et volontaire, par l’évolution de sa manière de vivre
et de respecter tous les êtres de l’univers, que le mal a autant son bon côté que le bien peut avoir son mauvais côté
et que tout ce qui est soumis au hasard et aux changements extérieurs ne peut rien apporter à leur vrai bonheur
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Ils prennent conscience du sens qu’ils portent à leur vie, à l’obéissance, au silence, à la constance, à la fraternité, aux sens des responsabilités, à la grandeur d’âme et à la sérénité face à la mort.
Leur vie est sereine grâce à leur façon de vivre qui se fait jour et est plus facile grâce à la méfiance, comme mère de sûreté, à la vigilance, en l’attention en l’art de paraître céder en se soumettant en s’accompagnant des effets du temps, en la maîtrise à supporter les revers, en l’aptitude à entreprendre et surtout ils doivent gagner la considération des profanes par leur comportement juste et courtois. Et grâce à leur courage digne d’un lion, à leur adresse, à leur façon de vivre dans le monde ils arrivent aux portes de la chevalerie spirituelle, point ultime de la quête spirituelle.
Et la grande finalité de leur travail leur permet d’approfondir les mystères de l’Ordre, sans toutefois en rechercher, acquérir ou retirer vanité.
Vaste programme
avait dit un grand personnage du vingtième siècle, certes je ne peux le nier, mais il apporte à tout maçon digne de ce nom une grande sérénité laissant apercevoir parfois une réelle félicitée.